Médaillon à Jean-Paul Marat ventes exceptionnelles par A Grégor Révolution Française 20 cm c 1800 Medal
Médaillon à Jean-Paul Marat ventes exceptionnelles par A Grégor Révolution Française 20 cm c 1800 Medal, Médaillon à Jean-Paul Marat par A Grégor Révolution Française 20 cm c 1800 Medal magasin
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Fonte de bronze vers 1800 .Dimensions : 20,5 cm .
Poids : 750 g .
Métal : bronze .Probablement par lartiste "A Gregor" .Envoi rapide et soigné.244- etmedaillon________________" alt="Médaillon à Jean-Paul Marat ventes exceptionnelles par A Grégor Révolution Française 20 cm c 1800 Medal" width="52" height="52" >
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Médecin et physicien
Armes, blason, devise
La Révolution
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Jean-Paul Marat
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Jean-Paul Marat
Illustration.
Joseph Boze, Portrait de Marat (1793),
Paris, musée Carnavalet.
Fonctions
Député de la Seine
9 septembre 1792 – 13 juillet 1793
(10 mois et 4 jours)
Législature Assemblée nationale législative
Convention nationale
Groupe politique Montagnard
Biographie
Nom de naissance Jean-Paul Marat
Surnom « LAmi du peuple »
Date de naissance 24 mai 1743
Lieu de naissance Boudry, Principauté de Neuchâtel
Date de décès 13 juillet 1793 (à 50 ans)
Lieu de décès Paris, France
Nationalité Français et Neuchâtelois
Profession Journaliste, médecin, physicien
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Jean-Paul Marat, né le 24 mai 1743 à Boudry (Principauté de Neuchâtel) et mort assassiné dans une baignoire le 13 juillet 1793 à Paris, est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Usurpateur de noblesse avant la chute du régime monarchique, il devient député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Son assassinat par Charlotte Corday permet aux hébertistes de faire de lui un martyr de la Révolution et dinstaller pendant quelques mois ses restes au Panthéon.
Médecin et physicien
Plaque commémorative sur la maison natale de Jean-Paul Marat à Boudry.
Vue de Boudry
Marat naît à Boudry, dans une maison sur la place maintenant appelée place Marat, dans la principauté de Neuchâtel (dont le territoire correspond à celui de lactuel canton de Neuchâtel en Suisse) ; il est le fils de Jean-Baptiste Marat, un prêtre mercédaire défroqué dorigine sarde1 né à Cagliari en 1704 et dessinateur en indiennes converti au calvinisme, et de la Genevoise Louise Cabrol2 dont la famille calviniste était originaire du Rouergue ; la famille Mara, originaire dEspagne3, a donné plusieurs personnalités remarquables comme son frère cadet David (1756-1821) qui fut professeur de littérature française au lycée impérial de Tsarskoïe Selo.
En 1759, après ses études au collège, le futur conventionnel quitte Neuchâtel et sa famille, et devient pendant deux ans le précepteur des enfants de Pierre-Paul Nairac, grand armateur négrier bordelais. Marqué par la thématique de lesclavage, il produira plus tard, en 1785, pour lAcadémie de Bordeaux, une dissertation à léloge des idées anti-esclavagistes du philosophe Montesquieu4.
Après un séjour à Paris de 1762 à 1765, où il complète ses études et acquiert en autodidacte une formation de médecin, il se fixe à Londres, puis à Newcastle en 1770, où il exerce comme médecin et vétérinaire. Entre 1770 et 1772, il écrit Les Aventures du jeune comte Potowski, un roman épistolaire dans le goût du temps, qui demeure inédit. En 1772, il publie anonymement An Essay on the Human Soul, puis, après son retour dans la capitale britannique, en 1773, un second écrit philosophique, A Philosophical Essay on Man, qui est réédité en 17753. Disciple de Rousseau, il attaque plusieurs fois Helvétius, traité d« esprit faux et superficiel », dans cet ouvrage, mais aussi Voltaire, quil qualifie d« inconséquent » et qui lui répond par le persiflage dans un petit article5,6 paru dans le Journal de politique et de littérature le 5 mai 17777.
En mai 1774, Marat fait paraître à Londres les Chains of Slavery, qui sinscrit dans le contexte de la campagne électorale qui voit lélection de John Wilkes comme alderman, puis lord-maire de Londres3.
Pendant son séjour en Angleterre, il est reçu comme franc-maçon dans la loge « King Head Jerrard Stree Soho ». Son élévation au grade de maitre est datée du 15 juillet 1774 selon son diplôme maçonnique retrouvé et vendu en 1906 à l’Hôtel Drouot. Si des traces de visites dans une loge hollandaise sont documentées, il ne semble pas fréquenter de loge française8.
Après un court séjour dans les Provinces-Unies (1774-1775)2 et lobtention de son diplôme de médecin à luniversité de St Andrews (Écosse) le 30 juin 1775, il sinstalle à Paris, où il publie en 1776 une édition française de son traité De lhomme2. Le comte d’Artois lui octroie le 24 juin 1777, le brevet de médecin de ses gardes du corps9. Il ouvre un cabinet dexpériences où il fait des recherches en physique expérimentale, en particulier sur la nature du feu, la lumière et lélectricité médicale. En août 1783, ce dernier thème lui vaut dêtre couronné par lAcadémie de Rouen2.
Une page des Recherches physiques sur le Feu avec des corrections manuscrites de la main de Marat.
En 1779, Benjamin Franklin est invité par son ami Jean-Baptiste Le Roy à assister chez le marquis Maximilien de Châteauneuf de LAubespinen 1, dans son grand hôtel de la rue de Bourgogne, aux expériences de Marat, qui veut faire ses preuves aussi bien en physique quen médecine10. En 1778, celui-ci a présenté un mémoire sur la nature du feu, et Jean-Baptiste Le Roy qui a été nommé membre de la commission chargée denquêter sur le bien-fondé des théories de Marat, a réussi à y attirer Franklin :
« Ayant exposé sa tête chauve au foyer du microscope solaire (instrument inventé par Marat), nous l’aperçûmes ceinte de vapeurs ondulantes qui se terminaient en pointes torses ; elles représentaient lespèce de flamme que les peintres ont fait lattribut du génie11. »
Ces recherches lui valent des critiques défavorables de lAcadémie des sciences de Paris12.
En 1780, dans son Plan de législation criminelle, il fustige les inégalités et soutient que le droit à lexistence est supérieur au droit de propriété :
« Le droit de posséder découle de celui de vivre : ainsi, tout ce qui est indispensable à notre existence est à nous, et rien de superflu ne saurait nous appartenir légitimement tandis que d’autres manquent du nécessaire. Voilà le fondement légitime de toute propriété et dans l’état de société et dans l’état de nature. »
Tombé malade en 1782, outre ses démêlés scientifiques, il connaît des revers de fortune, avant de perdre en 1784, sa charge de médecin auprès du comte dArtois2,13,14. Dans les années 1780, Marat continue de soigner Claire de Choiseul, marquise de lAubépine de Châteauneuf (1751-1794) qui le soutient financièrement et avec laquelle il aurait eu une liaison intéressée, si lon en croit les éditeurs de Jacques-Pierre Brissot15.
Un autre contemporain qui connaissait particulièrement bien Marat et sa famille, lex-abbé Jean-Louis Giraud-Soulavie, un républicain qui est envoyé comme ambassadeur « résident » à Genève en 1793 et 1794, confirme16 ces informations plus tard corroborées par Barère de Vieuzac :
« Marat sorti de Genève en 1782 et fanatisé à Londres où il retourne en 1790 car poursuivi par La Fayette, revint en 1791 se mettre à la tête des cordeliers, principaux agitateurs de la populace. Ses deux collègues sont Gasc17, associé de dYvernois18 dans ladministration des subsides anglais, et Jannot-Lançon. Cest près de ces aventuriers que je fus envoyé par la République française et cest contre eux que jeus à lutter, surtout quand je leur prouvai que, sous le voile trompeur de leur démocratie, ils étaient le canal de la distribution dans Lyon des sommes envoyées par la cour de Londres aux chefs patriotes et aux chefs royalistes qui dévastèrent en 1793 ce point central de notre commercen 2,19. »
Marat est un temps pressenti, sans succès, pour fonder une académie à Madrid par le ministre Floridablanca2, en 1788. Souffrant de graves crises inflammatoires et croyant ses jours en danger, il rédige même son testament lété de cette année, qu’il confie à l’horloger suisse Abraham Breguet20.
Armes, blason, devise
Lorsquil était médecin de lécurie et des pages du comte dArtois, frère du roi, Marat essaya vainement de faire reconnaître sa (fausse) noblesse espagnole et enregistrer un blason21 que lon retrouve sur sa correspondance entre 1778 et 178922.
« Au 1er de (émail inconnu) à un demi-aigle de (émail inconnu) au vol abaissé mouvant du parti ; au 2e tranché en chef de (émail inconnu), à la bande ou demi-chevron de (émail inconnu), et en pointe de pourpre. »
— Écu surmonté dune couronne de comte23.
La Révolution
Débuts révolutionnaires
Marat par Claessens.
Le 25 juillet 1789, le comité de Constitution présentait à l’Assemblée, par la voix du député Mounier, un premier projet. À ce moment précis, Marat publie, début août, une feuille in-8° de 8 pages Le Moniteur patriote24, entièrement consacrée à la critique du projet de Constitution, critique nourrie, entre autres par son expérience du modèle constitutionnel anglais. Il sadresse également en ce sens, à la fin du mois daoût, à lAssemblée nationale dans une lettre intitulée « Tableau des vices de la Constitution Anglaise, présenté en août 1789 aux États-Généraux comme une série d’écueils à éviter dans le Gouvernement qu’ils voulaient donner à la France ».
Journaliste
Le Journal de Marat, lAmi du peuple, no 124 du 5 juin 1790.
Plaque 16 rue de lAncienne-Comédie (Paris).
Le 12 septembre 1789, Marat publie le premier numéro du Publiciste parisien, journal politique, libre et impartial journal quotidien connu sous le titre L’Ami du peuple. Il comporte normalement 8 pages in-8°, parfois 10 ou 12, quelquefois 16. De septembre 1789 à septembre 1792, Marat fait ainsi paraître 685 numéros. Sous la Constituante, il défend la cause des citoyens passifs, des victimes du marc dargent. En effet, pour être « citoyen actif », il fallait payer un minimum dimpôt annuel correspondant à trois journées de travail et pour être éligible, il fallait payer une contribution annuelle directe d’au moins un marc dargent (soit environ 50 livres)25. De plus, les impositions directes de Paris étaient calculées sur le prix du loyer selon la loi du 18 avril 1790. Pour pouvoir être éligible à lAssemblée nationale, il fallait donc avoir non seulement un loyer, mais un loyer dau moins 750 livres pour payer les 50 livres dimposition requises26. Le 30 juin 1790, on trouve dans le journal de Marat une « supplique du citoyen passif » où lon peut lire :« Quaurons-nous gagné à détruire laristocratie des nobles, si elle est remplacée par laristocratie des riches ? Et si nous devons gémir sous le joug de ces nouveaux parvenus […]. »
Il prend même position sur les questions coloniales, entre mai 1791 et avril 1792. Imprégné de la pensée de Montesquieu, auquel il a rendu hommage dans un concours pré-révolutionnaire pour lironie de son texte De lesclavage des Nègres27 en mai 1791, il défend la cause des gens de couleur libérés, regrette lamendement Rewbell du 15 mai qui reconnaît la citoyenneté à certains, mais en discrimine dautres. Après la révocation totale de leurs droits par Barnave le 24 septembre, il prédit : « À la différence des Parisiens les hommes de couleur ne sont pas des lâches, ils ne se laisseront pas faire ». Ceux-ci se soulèveront en effet peu après et imposeront à lassemblée législative, avec laide de son groupe brissotin, le décret égalitaire du 24 mars 1792, devenu loi le 4 avril après la sanction royale. Sur lesclavage, Marat publie le 18 mai 1791 un plan dabolition progressive de lesclavage des Noirs avec indemnisation des planteurs. À lautomne 1791, à lannonce de linsurrection desclaves à Saint-Domingue, il radicalise sa pensée, prenant fait et cause pour les insurgés, dont il prédit le 12 décembre 1791 laccès à lindépendance28. Juste avant son assassinat, ayant reçu une lettre dun ami créole, Philippe Rose-Roume, emprisonné après une intrigue de colons blancs, il sapprête à reparler de la situation à Saint-Domingue dans une lettre à la Convention29. Roume sera libéré peu après sur initiative de Chabot30.
Marat fait deux voyages en Angleterre au temps de la Révolution. Le premier a lieu dans les années 1790, et le second au printemps 1792. Lorsquil revient à Paris, Marat sest détaché du duc dOrléans, quil a vivement défendu sous lAssemblée constituante, jusquen juillet 1791, pour contribuer à développer désormais le mouvement encore embryonnaire de lexagération révolutionnaire, qui débute de façon spectaculaire avec les massacres de septembre 1792, se poursuit toute lannée 1793 et se termine avec la fin de la Grande Terreur.
Massacres de Septembre
Article détaillé : Massacres de Septembre.
Jean-François Garneray, Portrait de Jean-Paul Marat (fin du XVIIIe siècle), Versailles, musée Lambinet.
Après la journée du 10 août 1792, il incite à la poursuite du mouvement en prônant l’élimination des royalistes emprisonnés. À la différence de ses précédents appels au meurtre, il est cette fois suivi par une partie de la presse, notamment girondine. La publication de l’Ami du peuple cesse au 21 août, et son dernier appel au meurtre date du 19 ; il est cependant probable qu’au moins un placard anonyme du 26 août soit de sa main31.
Le 2 septembre 1792, il entre au Comité de surveillance de la Commune de Paris32. Dans son journal, il raconte quelque deux jours plus tôt que le[réf. souhaitée] peuple était en grande ébullition[réf. nécessaire] et que les responsables de la journée du 10 août 1792 étaient restés impunis[réf. souhaitée]. Il évoque ceux qui ont assuré la défense du château des Tuileries et la protection de la famille royale. En fait, le tribunal du 17 août a déjà commencé à fonctionner et trois serviteurs des Tuileries ont été exécutés, en particulier Arnaud de La Porte, l’intendant de la liste civile et lécrivain Farmian du Rosoy. Les sectionnaires extrémistes trouvent cependant que ce tribunal acquitte trop facilement, et juge trop lentement. À la fin août, les visites domiciliaires effectuées pour trouver des armes aboutissent à de nombreuses arrestations ; le 30 août 1792, les prisons de Paris sont pleines.
Les révolutionnaires se rendent alors aux prisons, et y massacrent du 2 au 6 septembre, d’abord prêtres insermentés, puis gardes suisses et gardes du corps du roi, aristocrates suspectés de complot, enfin de nombreux prisonniers de droit commun (au total, il y a environ 1 500 morts). Dès le 3 septembre, il signe, et probablement rédige, la circulaire du 3 septembre imprimée sur ses presses et envoyée aux départements et municipalités de toute la France, et appelant à la généralisation des massacres33. Cette circulaire et ses écrits violents ont fortement contribué à le faire tenir pour le principal responsable des massacres, mais cette vision des choses est abandonnée par les historiens depuis les années 1930 et les ouvrages de Louis Gottschalk34 et Gérard Walter35.
Les commissions denquête pa

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