Château dAncy-le-Franc Martinum Zeillerum Martin ZEILLER Antoine III ventes exceptionnelles d Clermont


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oct 63-210

Dimensions : La feuille : 37 cm par 29 cm .
La gravure seule : 28,5 cm par 21,5 cm .

Gravure originale XVII, vers 1650 .
Sur papier vergé , une restauration en bas, pliure naturelle central verticale (deux feuilles assemblées) .

Artiste : Martinum Zeillerum; Martin ZEILLER (1589-1661) .

En transparence :

Envoi rapide et soigné .

oct 63-210
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Le château dAncy-le-Franc (1538-1546), situé dans la commune dAncy-le-Franc dans le département français de lYonne en Bourgogne, est une œuvre architecturale de litalien Sebastiano Serlio, réalisée pour Antoine III de Clermont (1498-1578), beau-frère de Diane de Poitiers.

Représentant un véritable tournant stylistique, lédifice est lune des premières réalisations de la Seconde Renaissance française (1540 à 1559/1564), marquant non seulement l’avènement de « larchitecture modulaire » dans lélévation des façades mais également une évolution vers le classicisme en France2.

Le château ainsi que les communs, pavillon du parc, douves, parc ordonnancé et son mur de clôture3 ont fait l’objet de classements au titre des monuments historiques et dès le 8 mars 1983 confirmé le 26 septembre 20031,4.
Histoire
Le marquis de Louvois par Pierre Mignard (Beaux-arts de Reims).

Dès le XIIe siècle existait dans la commune d"Anec -le-Franc en Champagne" un château fort, dont une tour subsistait encore à la fin du XVIe siècle5 ; le fief de Cusy était associé à la seigneurie dAncy-le-Franc. Il existait alors une famille seigneuriale locale, les dAncy, issus des Mont-Saint-Jean et placés sous la suzeraineté des vicomtes de Rougemont : ainsi, Guillaume Ier de Mont-St-Jean fut le père entre autres enfants de Jobert de Mont-Saint-Jean, lui-même père de Jean Ier dAncy, fl. au XIIIe siècle6 ; Jean était le cousin germain de Guillaume III de Mont-Saint-Jean (époux de Marie des Barres), et il maria Agnès de Saint-Florentin dame de Pacy, doù Jean II (père de Jean III, seigneur jusque vers 1315) et Reine dAncy7,8.

La succession passe alors aux descendants de Reine, qui avait épousé Guillaume Ier dArcis-sur-Aube sire de Chacenay et de Pisy, doù semble-t-il Jean dArcis, évêque de Langres en 1342-1344, dit seigneur dAncy (à moins quil soit un dArcy !), et en tout cas Erard II (qui continue les sires de Chacenay et de Pisy) et Guillaume II dArcis, sire dAncy. Alix dArcis, la fille de Guillaume, passe Ancy-le-Franc et Eclance à son mari Eudes de Grancey-Larrey9, et leur fille Marguerite de Grancey est dame dAncy-le-Franc, dont elle fait le dénombrement en 1390.

Puis Ancy se retrouve aux mains des sires de Plancy. Ainsi, Louis de Plancy (né vers 1355 et † 1396 à Nicopolis)10,11 semble le père de Jeanne de Plancy, qui, elle, est une dame dAncy-le-Franc avérée, mariée à Claude de Tenarre (plutôt que de Tannerre ; † en avril 1455).

Leur fille Claude de Tenarre/de Tannerre transmet Plancy, Ancy-le-Franc et Cusy à son mari Humbert de Neufchâtel-Bourgogne-Montaigu, vicomte de Bl(a)igny, sire de Nanteuil-la-Fosse et de Châtel, épousé vers 144812. Claude de Tenarre meurt vers 1459 mais sa fille Jeanne de Neufchâtel-Nanteuil, Châtel et Bligny, nhérite pas vraiment dAncy, qui reste plutôt à la 2e femme dHumbert, Charlotte dAulnay-de Louvres, Orville et Goussainville (fille de Pierre le Gallois dAulnay)13. Charlotte se remarie elle-même, après le décès dHumbert, avec Miles de Dampierre, qui reprend la titulature de Plancy et dAncy (par exemple en 1484) : leur gendre est Pierre dOrgemont de Méry († vers 1500)14, qui épouse en 1490 leur fille Suzanne de Dampierre. En 1509, Jean de Toulongeon-Traves († 1513), le 3e mari de Suzanne de Dampierre, vend la terre dAncy à la comtesse de Tonnerre Antoinette de La Trémoille, mère dAnne de Husson15.

Cest à partir de 1536 que le château actuel est érigé à la demande dAntoine III de Clermont, beau-frère de Diane de Poitiers et fils dAnne de Husson, comtesse de Tonnerre. Les plans de lédifice sont traditionnellement attribués à larchitecte italien Sebastiano Serlio, que le roi François Ier avait fait venir en France.

Au décès de larchitecte italien en 1554 à Fontainebleau, larchitecte Pierre Lescot, a pris la suite des travaux dans lesprit des plans primitifs de Serlio.

La décoration intérieure, reprenant les partis pris de la Salle de bal de Fontainebleau, est attribuée en grande partie au Primatice assisté dautres peintres de la Première école de Fontainebleau tels que Nicolò dellAbbate, Luca Penni ainsi que des artistes flamands italianisés comme Bartholomeus Spranger et Nicolas de Hoey16.
Gaspard de Clermont-Tonnerre (1759).

Antoine III de Clermont meurt en 1578, laissant le château inachevé.

Cest son petit-fils Charles-Henri qui reprend les travaux. Le château est alors en mesure daccueillir des hôtes prestigieux : Henri III - attendu mais qui ne viendra pas au château - Henri IV en 1591, Louis XIII en 1631 et Louis XIV en 1674.

En 1683, les Clermont-Tonnerre doivent vendre la terre dAncy-le-Franc et le château revient à François-Michel Le Tellier de Louvois, ministre de Louis XIV, qui lannée suivante acquiert le comté de Tonnerre, se constituant ainsi un vaste domaine. Il fait construire perpendiculairement à la demeure et face au portail dentrée de grands communs "en U", et confie à André Le Nôtre le tracé dun jardin à la française.

Suivant la mode de
Le jardin de la Renaissance
Jardins du château dAncy-le-Franc (1576, Jacques Ier Androuet du Cerceau, « Les plus excellents bastiments de France »).

À lépoque de la réalisation du château, le parc forme un ensemble limité au nord-ouest par le mur denceinte médiéval. Pour mettre en valeur lédifice, le terrain est largement cerné dun fossé (comblé en 1836) dont les terres enlevées servirent alors au remblaiement dune large terrasse de six mètres de large (disparue au XVIIIe siècle) formant ainsi une sorte de socle doù lédifice doit dominer létendue de la plaine18. Les jardins sont ainsi divisés en zones distinctes dont lensemble comprend non seulement un jardin dagrément et un labyrinthe planté de charmilles, mais aussi un jardin des simples, cest-à-dire des plantes aromatiques et médicinales, traditionnel au Moyen Âge.

La partie du parc traitée en jardin dagrément se caractérise par des plates-bandes ou parterres symétriques et géométriques, des plantes en pots, des allées de sable et gravier, une large terrasse, des escaliers et des rampes, des eaux courantes sous forme de canaux, de cascades, de fontaines monumentales et des statues de personnages mythologiques23. Cet espace sachève alors par un bois peuplé de labyrinthes dont le but est de sélever spirituellement. Les jardins qui entourent alors le château, représentent une véritable extension du bâtiment tout en étant conçus pour illustrer les idéaux de mesure et de proportion de la Renaissance, rappelant ainsi les vertus de la Rome antique23.

Dans le jardin dAncy-le-Franc, à lépoque de la Renaissance, on est passé de l’enclos utilitaire, tout chargé de symbolique chrétienne, à de larges perspectives utilisant le vocabulaire païen, et dont le but principal est la seule délectation, le plaisir. Les considérations esthétiques et personnelles deviennent alors primordiales24. L’exemple dAncy-le-France montre à quel point lespace du jardin subit alors de moins en moins l’influence des préceptes religieux (nonobstant les visions de lépoque d’Érasme et de Palissy). Les références iconologiques ne sont plus qu’exclusivement classiques : elle appartiennent à la mythologie par l’emploi de sa symbolique, des thèmes illustrés ou de la statuaire… Ces jardins ont alors aussi une dimension politique et sont dessinés à la gloire du maître des lieux, Antoine III de Clermont. Dénotant l’évolution de l’art de vivre de lépoque, le parc dAncy-le-Franc devient un cadre de fêtes et de fastueux banquets. Son histoire est aussi le reflet de celle, parallèle, de la botanique (introduction de nouvelles espèces, approche de plus en plus scientifique) et de l’évolution des théories et pratiques culturales24.
Le jardin à la Française
Vue du grand parterre dAncy-le-Franc au temps de Louvois, vers 1685
Vue du parterre gauche du château dAncy-le-Franc, au temps de Louvois, vers 1685
Vur perspective du château et des jardins dAnec le franc de Martin Zeiller (1656).

En 1684, lorsque le Marquis de Louvois s’acquiert le château, il entreprend alors de lui donner le caractère d’une demeure du “Grand Siècle”, faisant d’Ancy-le-Franc son Versailles particulier. Suivant cette ambition, il ordonne la démolition des derniers vestiges du mur médiéval, au nord-ouest du château, de façon à libérer l’espace pour la construction dune orangerie et de vastes communs disposés autour de deux cours.

Afin de rivaliser avec les grands domaines de l’époque tels que Vaux-le-Vicomte, Chantilly ou celui de Colbert à Sceaux, Louvois commande à André le Nôtre d’entourer le château d’un vaste jardin à la française dont le vocabulaire es
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Dimensions : La feuille : 37 cm par 29 cm .
La gravure seule : 28,5 cm par 21,5 cm .

Gravure originale XVII, vers 1650 .
Sur papier vergé , une restauration en bas, pliure naturelle central verticale (deux feuilles assemblées) .

Artiste : Martinum Zeillerum; Martin ZEILLER (1589-1661) .

En transparence :

Envoi rapide et soigné .

oct 63-210
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Le château dAncy-le-Franc (1538-1546), situé dans la commune dAncy-le-Franc dans le département français de lYonne en Bourgogne, est une œuvre architecturale de litalien Sebastiano Serlio, réalisée pour Antoine III de Clermont (1498-1578), beau-frère de Diane de Poitiers.

Représentant un véritable tournant stylistique, lédifice est lune des premières réalisations de la Seconde Renaissance française (1540 à 1559/1564), marquant non seulement l’avènement de « larchitecture modulaire » dans lélévation des façades mais également une évolution vers le classicisme en France2.

Le château ainsi que les communs, pavillon du parc, douves, parc ordonnancé et son mur de clôture3 ont fait l’objet de classements au titre des monuments historiques et dès le 8 mars 1983 confirmé le 26 septembre 20031,4.
Histoire
Le marquis de Louvois par Pierre Mignard (Beaux-arts de Reims).

Dès le XIIe siècle existait dans la commune d"Anec -le-Franc en Champagne" un château fort, dont une tour subsistait encore à la fin du XVIe siècle5 ; le fief de Cusy était associé à la seigneurie dAncy-le-Franc. Il existait alors une famille seigneuriale locale, les dAncy, issus des Mont-Saint-Jean et placés sous la suzeraineté des vicomtes de Rougemont : ainsi, Guillaume Ier de Mont-St-Jean fut le père entre autres enfants de Jobert de Mont-Saint-Jean, lui-même père de Jean Ier dAncy, fl. au XIIIe siècle6 ; Jean était le cousin germain de Guillaume III de Mont-Saint-Jean (époux de Marie des Barres), et il maria Agnès de Saint-Florentin dame de Pacy, doù Jean II (père de Jean III, seigneur jusque vers 1315) et Reine dAncy7,8.

La succession passe alors aux descendants de Reine, qui avait épousé Guillaume Ier dArcis-sur-Aube sire de Chacenay et de Pisy, doù semble-t-il Jean dArcis, évêque de Langres en 1342-1344, dit seigneur dAncy (à moins quil soit un dArcy !), et en tout cas Erard II (qui continue les sires de Chacenay et de Pisy) et Guillaume II dArcis, sire dAncy. Alix dArcis, la fille de Guillaume, passe Ancy-le-Franc et Eclance à son mari Eudes de Grancey-Larrey9, et leur fille Marguerite de Grancey est dame dAncy-le-Franc, dont elle fait le dénombrement en 1390.

Puis Ancy se retrouve aux mains des sires de Plancy. Ainsi, Louis de Plancy (né vers 1355 et † 1396 à Nicopolis)10,11 semble le père de Jeanne de Plancy, qui, elle, est une dame dAncy-le-Franc avérée, mariée à Claude de Tenarre (plutôt que de Tannerre ; † en avril 1455).

Leur fille Claude de Tenarre/de Tannerre transmet Plancy, Ancy-le-Franc et Cusy à son mari Humbert de Neufchâtel-Bourgogne-Montaigu, vicomte de Bl(a)igny, sire de Nanteuil-la-Fosse et de Châtel, épousé vers 144812. Claude de Tenarre meurt vers 1459 mais sa fille Jeanne de Neufchâtel-Nanteuil, Châtel et Bligny, nhérite pas vraiment dAncy, qui reste plutôt à la 2e femme dHumbert, Charlotte dAulnay-de Louvres, Orville et Goussainville (fille de Pierre le Gallois dAulnay)13. Charlotte se remarie elle-même, après le décès dHumbert, avec Miles de Dampierre, qui reprend la titulature de Plancy et dAncy (par exemple en 1484) : leur gendre est Pierre dOrgemont de Méry († vers 1500)14, qui épouse en 1490 leur fille Suzanne de Dampierre. En 1509, Jean de Toulongeon-Traves († 1513), le 3e mari de Suzanne de Dampierre, vend la terre dAncy à la comtesse de Tonnerre Antoinette de La Trémoille, mère dAnne de Husson15.

Cest à partir de 1536 que le château actuel est érigé à la demande dAntoine III de Clermont, beau-frère de Diane de Poitiers et fils dAnne de Husson, comtesse de Tonnerre. Les plans de lédifice sont traditionnellement attribués à larchitecte italien Sebastiano Serlio, que le roi François Ier avait fait venir en France.

Au décès de larchitecte italien en 1554 à Fontainebleau, larchitecte Pierre Lescot, a pris la suite des travaux dans lesprit des plans primitifs de Serlio.

La décoration intérieure, reprenant les partis pris de la Salle de bal de Fontainebleau, est attribuée en grande partie au Primatice assisté dautres peintres de la Première école de Fontainebleau tels que Nicolò dellAbbate, Luca Penni ainsi que des artistes flamands italianisés comme Bartholomeus Spranger et Nicolas de Hoey16.
Gaspard de Clermont-Tonnerre (1759).

Antoine III de Clermont meurt en 1578, laissant le château inachevé.

Cest son petit-fils Charles-Henri qui reprend les travaux. Le château est alors en mesure daccueillir des hôtes prestigieux : Henri III - attendu mais qui ne viendra pas au château - Henri IV en 1591, Louis XIII en 1631 et Louis XIV en 1674.

En 1683, les Clermont-Tonnerre doivent vendre la terre dAncy-le-Franc et le château revient à François-Michel Le Tellier de Louvois, ministre de Louis XIV, qui lannée suivante acquiert le comté de Tonnerre, se constituant ainsi un vaste domaine. Il fait construire perpendiculairement à la demeure et face au portail dentrée de grands communs "en U", et confie à André Le Nôtre le tracé dun jardin à la française.

Suivant la mode de
Le jardin de la Renaissance
Jardins du château dAncy-le-Franc (1576, Jacques Ier Androuet du Cerceau, « Les plus excellents bastiments de France »).

À lépoque de la réalisation du château, le parc forme un ensemble limité au nord-ouest par le mur denceinte médiéval. Pour mettre en valeur lédifice, le terrain est largement cerné dun fossé (comblé en 1836) dont les terres enlevées servirent alors au remblaiement dune large terrasse de six mètres de large (disparue au XVIIIe siècle) formant ainsi une sorte de socle doù lédifice doit dominer létendue de la plaine18. Les jardins sont ainsi divisés en zones distinctes dont lensemble comprend non seulement un jardin dagrément et un labyrinthe planté de charmilles, mais aussi un jardin des simples, cest-à-dire des plantes aromatiques et médicinales, traditionnel au Moyen Âge.

La partie du parc traitée en jardin dagrément se caractérise par des plates-bandes ou parterres symétriques et géométriques, des plantes en pots, des allées de sable et gravier, une large terrasse, des escaliers et des rampes, des eaux courantes sous forme de canaux, de cascades, de fontaines monumentales et des statues de personnages mythologiques23. Cet espace sachève alors par un bois peuplé de labyrinthes dont le but est de sélever spirituellement. Les jardins qui entourent alors le château, représentent une véritable extension du bâtiment tout en étant conçus pour illustrer les idéaux de mesure et de proportion de la Renaissance, rappelant ainsi les vertus de la Rome antique23.

Dans le jardin dAncy-le-Franc, à lépoque de la Renaissance, on est passé de l’enclos utilitaire, tout chargé de symbolique chrétienne, à de larges perspectives utilisant le vocabulaire païen, et dont le but principal est la seule délectation, le plaisir. Les considérations esthétiques et personnelles deviennent alors primordiales24. L’exemple dAncy-le-France montre à quel point lespace du jardin subit alors de moins en moins l’influence des préceptes religieux (nonobstant les visions de lépoque d’Érasme et de Palissy). Les références iconologiques ne sont plus qu’exclusivement classiques : elle appartiennent à la mythologie par l’emploi de sa symbolique, des thèmes illustrés ou de la statuaire… Ces jardins ont alors aussi une dimension politique et sont dessinés à la gloire du maître des lieux, Antoine III de Clermont. Dénotant l’évolution de l’art de vivre de lépoque, le parc dAncy-le-Franc devient un cadre de fêtes et de fastueux banquets. Son histoire est aussi le reflet de celle, parallèle, de la botanique (introduction de nouvelles espèces, approche de plus en plus scientifique) et de l’évolution des théories et pratiques culturales24.
Le jardin à la Française
Vue du grand parterre dAncy-le-Franc au temps de Louvois, vers 1685
Vue du parterre gauche du château dAncy-le-Franc, au temps de Louvois, vers 1685
Vur perspective du château et des jardins dAnec le franc de Martin Zeiller (1656).

En 1684, lorsque le Marquis de Louvois s’acquiert le château, il entreprend alors de lui donner le caractère d’une demeure du “Grand Siècle”, faisant d’Ancy-le-Franc son Versailles particulier. Suivant cette ambition, il ordonne la démolition des derniers vestiges du mur médiéval, au nord-ouest du château, de façon à libérer l’espace pour la construction dune orangerie et de vastes communs disposés autour de deux cours.

Afin de rivaliser avec les grands domaines de l’époque tels que Vaux-le-Vicomte, Chantilly ou celui de Colbert à Sceaux, Louvois commande à André le Nôtre d’entourer le château d’un vaste jardin à la française dont le vocabulaire es
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Château dAncy-le-Franc Martinum Zeillerum Martin ZEILLER Antoine III ventes exceptionnelles d Clermont
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Château dAncy-le-Franc Martinum Zeillerum Martin ZEILLER Antoine III ventes exceptionnelles d Clermont

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